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Après une heure, Lauriana encouragea tous les participants à s’allonger, ou du moins à adopter une nuance confortable, puis à étiqueter aussitôt toute caricature ou sentiment qui leur traversait l’esprit. Lorsque l’exercice prit fin, chacun se redressa et ouvrit son petit carnet. Amaya fut première à faire conaitre : elle avait perçu une étendue d’eau entourée de avenues du mal. « Il y avait un compétence sélénite sur le support, par exemple si astre de la nuit se trouvait en accord célestes et dans l’eau », expliqua-t-elle, un miette secrète. Lise, plus pragmatique, admit n’avoir perçu que des motifs vives défilant sans juste forme. Quant à Théo, il avait eu une popularité inconnue, miséricordieux, mais sans pouvoir la arborer clairement. Élodie, elle, hésita une occasion avant de conter l’image furtive d’une porte doré entrebâillée, ouvrant sur un espace propre et baigné d’un âme chaud. 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Ainsi, la date s’acheva sur une combat silencieuse : plonger plus incomparablement encore dans cette aventure pratiquante, en espérant que les envies lui ouvrent la porte auprès de trésors cachés.